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La médina de meknès

Où artisanat traditionnel et modernité s’accommodent, le temps semble parfois s’arrêter.

Derrière les hauts murs de la ville de Meknès, plusieurs artisans s’affairent à la confection et au renouvellement de productions authentiques et modernes.
La place El-Hedime compte des échoppes en tous genres. L’art du damasquinage est visible sur les vases, assiettes, bracelets et autres objets finement décorés. La broderie et la tannerie sont également maîtrisées par ces artisans de père en fils.
L’arrière-pays de Meknès est exceptionnellement riche : vignes, vergers et oliveraies poussent sur sa terre fertile.
Dans cette ville impériale, les occasions de se munir d’objets traditionnels et du terroir ne manquent pas !
La médina de meknès

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Le Musée Dar Belghazi

Un aperçu de la culture Fassi

Dar Belghazi est un musée privé à Fès qui appartient à la famille Belghazi. Une famille notable Fassi qui collectionnait les objets d’art. Pour connaître de plus près la culture régnante à Fès, le musée vous propose un tour pour découvrir les bijoux, les instruments de musique et les armes du XVIIe siècle.
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Le Musée Berbère

Une immersion dans la culture amazigh

Ancien atelier de Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, le musée berbère, situé au cœur du Jardin Majorelle, est une exposition des objets emblématiques de la culture amazigh : parures, bijoux, costumes et ustensiles de cérémonies.musee-berbere-amazigh

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La Médersa Mérinide de Salé

Un héritage des Mérinid

Les vestiges des mérinides s’emparent de la ville de Salé, sœur de Rabat, à travers sa Médersa Mérinide. C’est un musée architectural et historique à la fois, traçant deux piliers fondamentaux de la culture de cette dynastie : l’architecture et l’apprentissage de l’Islam et de la science.
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Le ski à la station Michlifen

Le ski à la station Michlifen

Les sports d’hiver sont au rendez-vous à la station Michlifen ! À 17 km de la ville d’Ifrane, la station Michlifen se niche dans les montagnes à 2000 mètres d’altitude. Entourée de forêts de cèdres et couverte de neige à partir de mi-novembre, les sportifs y prendront réel goût. Amateur ou expert, 5 pistes de ski vous offrent la possibilité de glisser sur différentes pentes.
Dans cette station, d’autres activités sont à l’honneur : vous pouvez également vous y rendre pour faire l’expérience des randonnées pédestres ou équestres. Au domaine Michlifen, un parcours d’accrobranche vous emmènera dans un voyage de sensations. Des VTT et des Montain Bikes sont aussi à votre disposition pour parcourir les montagnes !
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Le Musée de Laâyoune

Un hommage aux cultures nomadese

Plus au sud du pays, là où s’étendent les lisières du désert, c’est aux cultures nomades qu’hommage est rendu à travers le musée de Laâyoune renferme une importante collection dédiée aux arts Sahariens. Ce recueil vivant de culture témoigne du grand savoir-faire des régions sahariennes.
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Musée National de la Céramique

Safi, Domicile de l’art de la céramique

Safi, capitale de la poterie et la céramique, abrite en elle le musée national de la céramique qui propose une collection riche d’objets en poterie et céramique du Maroc. Ces objets artisanaux ethnographiques et archéologiques proviennent de plusieurs musées marocains et font aussi l’objet de quelques donations.
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Jardins de Jnan sbil Fès

Jardins Jnan sbil

Jnan Sbil ou « Paradise », ces jardins sont des terres paisibles. Ils sont les poumons de la ville de Fès et la capitale verte de cette ville impériale.
Bien qu’ils aient subi un rajeunissement, les parcs verdoyants symbolisent l’histoire et l’architecture ancienne du Maroc ; c’est à l’époque du prince Moulay Abdellah que ce jardin botanique a été construit pour servir de parc public.
Le jardin est divisé en plusieurs espaces : chaque espace vous emmène dans son propre univers, vous charme par sa propre végétation et vous séduit par sa beauté unique.
Si vous séjournez à Fès, une visite des jardins est à ne pas manquer. Vous passerez un pur moment de bonheur et de contemplation. Il y a 7 hectares d’espace où vous pourrez vous promener, flâner et vous reposer au milieu d’arbres centenaires de toutes sortes et de fontaines qui donnent une bouffée d’air frais à l’endroit.
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Porte BAB MANSOUR LAALEJ

BAB MANSOUR LAALEJ

Considérée comme l’une des plus belles portes du monde, située devant la place El Hédim. Bab Mansour fut construite par le Sultan Moulay Ismaïl et achevée par son fils Moulay Abdellah (1732). Selon la légende, cette porte serait l’œuvre d’un chrétien converti à l’islam, et dont elle porte le nom « le Victorieux Renégat », connu sous le nom de Mansour Laalej. Bab Mansour possède une ouverture de 8 m de hauteur sous forme d’un arc brisé. Cette dernière est ornée de rinceaux en céramiques exisés et s’encadre d’un large bandeau constitué par un treillis en relief sur fond de mosaïque polychrome, dont la couleur dominante est le vert. Elle est supportée par des colonnes massives de marbre blanc surmontées par des chapiteaux de style antique. Rapprochez-vous pour admirer la finesse et la complexité de l’ornementation.
BAB MANSOUR LAALEJ

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VOLUBILIS ruines romaines

Volubilis ou les plus belles ruines romaines du Maroc

Site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, Volubilis ou Oualili, est à l’origine une ville antique amazigh, capitale du royaume de Maurétanie, avant d’être romanisée pour devenir l’une des plus grandes villes romaines d’Afrique. Les Romains, c’est connu, édifiaient leurs cités sur les ruines des villes des territoires conquis.
Ruines VOLUBILIS
Située sur les bords de l’oued Rhoumane, rivière de la banlieue de Meknès, non loin de la ville de Moulay Driss où repose Idriss Ier, fondateur de la dynastie des Idrissides, ses ruines sont les plus belles ruines romaines du Maroc. Elles figurent également parmi les principales ruines romaines en Afrique.
L’histoire de Volubilis qui porte les marques de plusieurs civilisations, représente parfaitement les multiples influences culturelles du Maroc. La ville fondée au IIIème siècle avant J-C, s’est développé rapidement lorsqu’elle fut contrôlée par les romains. A son apogée, Volubilis comptait entre 10 000 et 20 000 habitants et vivait essentiellement du commerce de l’huile d’olive. Les plaines qui avoisinent Volubilis sont d’ailleurs couvertes d’oliviers jusqu’à aujourd’hui.
L’origine du nom de la ville viendrait du latin volubilis signifiant “qui a un mouvement giratoire, qui tourne”. Son nom berbère est Oualili qui désigne la fleur de liseron ou le laurier-rose, particulièrement abondant aux abords de l’oued Rhoumane.
Ruines VOLUBILIS

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